décentralisation

Plus de pouvoir, pourquoi faire ? Réflexions sur les directions d’établissement scolaire

Les directeurs et directrices d’école, les chef-fes d’établissement ont -ils trop peu de pouvoir en…

Une démocratie locale (toujours) en mauvais état de marche…

La démocratie locale n’était pas, à l’évidence, une priorité du quinquennat d’Emmanuel Macron. Elle ne…

«Jacobins», «jacobinisme» ou les fausses évidences du passé révolutionnaire. Quelques considérations à l’usage d’aujourd’hui (II)

Assimiler le jacobinisme à une centralisation « coupable et inefficace » est devenu un lieu commun du débat politique français. Il est d’usage de l’opposer à une « bonne et vertueuse » décentralisation girondine. Or, le fond réel de l’affrontement de ces deux courants de républicanisme révolutionnaire s’est principalement construit autour de l’acceptation ou du refus du poids du mouvement populaire parisien dans la vie politique nationale, et non autour de l’acceptation ou du refus de Paris comme lieu unique de la fabrique de la loi commune de la République, nous rappelle Côme Simien. Il souligne que le jacobinisme est une structure de socialibilité politique d’une ampleur inédite pour l’époque.

«Jacobins», «jacobinisme» ou les fausses évidences du passé révolutionnaire. Quelques considérations à l’usage d’aujourd’hui (I)

Assimiler le jacobinisme à une centralisation « coupable et inefficace » est devenu un lieu commun du débat politique français. Il est d’usage de l’opposer à une « bonne et vertueuse » décentralisation girondine. Or, le fond réel de l’affrontement de ces deux courants de républicanisme révolutionnaire s’est principalement construit autour de l’acceptation ou du refus du poids du mouvement populaire parisien dans la vie politique nationale, et non autour de l’acceptation ou du refus de Paris comme lieu unique de la fabrique de la loi commune de la République, nous rappelle Côme Simien. Il souligne que le jacobinisme est une structure de socialibilité politique d’une ampleur inédite pour l’époque.

Confort de l’entre soi et dépolitisation de la politique locale

Fabien Desage et David Guéranger interrogent les raisons pour lesquelles les principales formations de gauche se sont converties à cette cogestion partisane des intercommunalités et mettent en évidence les dommages démocratiques collatéraux qu’elle produit.

Vous avez dit «démocratie locale»?

Les collectivités locales n’échappent pas à la diffusion du présidentialisme qui participe d’une démocratie de délégation et pose des questions sur les déséquilibres de la démocratie locale.