L’enfer, dit-on, est pavé de bonnes intentions. La transition écologique aussi. S’il se trouve un large consensus pour dépeindre de mots creux le “monde de demain”, les ennuis commencent dès qu’il s’agit de définir les objectifs précis, les moyens nécessaires, et qui paiera. Pour l’instant, c’est le libéralisme qui a la main. Mais à l’évidence, il nous conduit dans l’impasse. Alain Tournebise nous propose un retour à l’analyse marxiste pour nous en convaincre.