Guidé par les intérêts financiers, le système industriel se caractérise par un éclatement des chaînes de valeur qui dégrade l’environnement et engendre une division du travail fragilisant les travailleurs. Face à ces impasses, les causes écologiques et anthropologiques se conjuguent. Marie-Claire Cailletaud esquisse les contours de ce que serait une nouvelle civilisation fondée sur la définition collective des besoins et une véritable économie circulaire, en déclinant des objectifs concrets, pour la France en particulier.