
Programmer le cours de la révolution à venir ou forger des revendications mobilisatrices sur le terrain ? Soutenir les programmes des partis de gauche ou faire des propositions autonomes ? Travailler en accord étroit avec les partis et s’autolimiter ou affirmer des identités spécifiques et ne pas se sentir engagé par les programmes des partis ? Voici quelques-unes des questions qui se sont posées au mouvement syndical depuis plus d’un siècle. Michel Pigenet nous propose une histoire du partage évolutif des tâches entre syndicats et partis.