compromis social

De la financiarisation de l’entreprise à sa démocratisation

Si la financiarisation de l’entreprise a des conséquences sociales dévastatrices, elle n’en est pas moins inhérente à la notion même de propriété des moyens de production. Une politique sociale et écologique résolue ne peut que remettre en cause cette valorisation en ouvrant la voie à l’éviction des actionnaires et à la transformation des entreprises en communs associant travailleurs et usagers. Ainsi, Benoît Borrits nous invite à penser une nouvelle approche de l’appropriation sociale et de la démocratie.