Le travail devrait être un épanouissement Émanciper le travail des forces du capital Travailler pour…
Une sécurité sociale du travail et de la formation Le droit au salaire à vie…
Dans la nuit du 6 au 7 novembre 1917, les bolcheviks se sont emparés des principaux centres de décision de la capitale russe, Petrograd (anciennement Saint-Pétersbourg). Cette prise du pouvoir est nommée «Révolution d’Octobre» car elle s’est déroulée dans la nuit du 25 au 26 octobre selon le calendrier julien en vigueur en Russie jusqu’en 1918, date de l’adoption du calendrier grégorien.
Vous trouverez une chronologie de l’année 1917 suivie de quelques références audios, vidéos et bibliographiques pour aller plus loin ainsi qu’une chronologie de 1918 à 1991.
Une révolution, c’est un changement radical. Mais, reste à en déterminer le sens. Quand on voit aujourd’hui, ce que l’on peut appeler, la contre-révolution conservatrice à l’œuvre aux États-Unis avec la victoire de Donald Trump, ou encore en Europe de l’Est et en Turquie, cette question du sens prend toute son importance.
Charlotte Girard: «Le droit à écrire la Constitution ensemble est le cœur de l’acte révolutionnaire»
D’une manière générale, la révolution représente quelque chose d’assez idéalisé et hors d’atteinte. Je ne parle pas de la même chose. Je sais que cette vision existe, j’essaie de la mettre à distance et de la concrétiser. À mon sens, la révolution est un objectif à atteindre, un véritable cap politique, une perspective réelle.
La loi du 22 mars 1841 relative au travail des enfants employés dans les manufactures, usines ou ateliers est considérée comme la première ingérence de l’État dans les rapports économiques et familiaux.
Dans la rubrique, Le mot de la semaine de France inter du 9 juin 2017, Mariette Darrigrand propose une analyse le mot «travail»