Miroir
Cet espace vise à faire des ponts entre l’actualité et l’histoire en faisant retour sur des évènements qui peuvent venir éclairer le présent. Ces retours peuvent s’effectuer à travers toutes sortes de documents graphiques et numériques.
Un objet que l’on obtient gratuitement perd par là même de sa valeur Pour les…
« Franchissons maintenant la Manche et étudions les effets de la concurrence en Angleterre, dans un…
À la lumière des analyses de Cyril Lionel Robert James, théoricien marxiste, panafricaniste et internationaliste, sur la révolution des esclaves de Saint-Domingue, Florian Gulli démêle la complexité des relations entre luttes des classes et de « races ».
Roger Martelli a réalisé six tableaux qui offrent un certain nombre de données sur le vote communiste dans les six élections où le PCF présentait un candidat (1969, 1981, 1988, 1995, 2002, 2007).
L’élection d’Emmanuel Macron a sonné comme un bouleversement politique. Avec son accession à l’Élysée, plus…
Les relevés des décisions du Secrétariat du Comité central du PCF permettent de retracer l’histoire de son soutien à la candidature de François Mitterrand à l’élection présidentielle de 1965.
Employée aux PTT, Marie Couette (1898-1974) adhère à la CGTU dès 1924, ainsi qu’au PC, et milite pour l’égalité des salaires féminins et masculins. Résistante communiste, arrêtée en 1943, elle participe à l’Assemblée consultative provisoire (1944-1945) comme déléguée de la CGT et contribue à la création en juin 1945, à l’initiative du PCF, de l’Union des femmes française. Elle est désignée à l’autonome, secrétaire de la commission féminine confédérale, puis élue en avril 1946 au Bureau confédéral de la CGT. Dans cet article publié en 1944, issu du deuxième numéro de la nouvelle série de Femmes françaises, journal qui paraissait clandestinement pendant la guerre, Marie Couette plaide pour l’égalité salariale entre hommes et femmes en se fondant sur leur égale mobilisation dans les luttes pour la libération du pays.