Miroir
Cet espace vise à faire des ponts entre l’actualité et l’histoire en faisant retour sur des évènements qui peuvent venir éclairer le présent. Ces retours peuvent s’effectuer à travers toutes sortes de documents graphiques et numériques.
Dans la nuit du 6 au 7 novembre 1917, les bolcheviks se sont emparés des principaux centres de décision de la capitale russe, Petrograd (anciennement Saint-Pétersbourg). Cette prise du pouvoir est nommée «Révolution d’Octobre» car elle s’est déroulée dans la nuit du 25 au 26 octobre selon le calendrier julien en vigueur en Russie jusqu’en 1918, date de l’adoption du calendrier grégorien.
La loi du 22 mars 1841 relative au travail des enfants employés dans les manufactures, usines ou ateliers est considérée comme la première ingérence de l’État dans les rapports économiques et familiaux.
La liste des crises monétaires et financières proposée par Wikipedia témoigne de leur fréquence. Elle montre également comment les régulations de type keynésiens ont permis, pendant une période, d’assurer une stabilité relative.
La crise brutale et durable de l’économie capitaliste internationale dans les années 1930 a suscité beaucoup d’analyses qui ont conforté la critique du capitalisme.
Pendant les années 1930, à l’initiative de la CGTU, des Comités de chômeurs organisent des manifestations qui mobilisent les chômeurs.
Il y a 40 ans, les historiens ont pris la crise comme objet d’étude historique. Deux numéros y sont consacrés dans la Revue les Cahiers d’histoires de l’Institut Maurice Thorez.
Dans le contexte de l’après-guerre, la droite au pouvoir a fait campagne sur le thème « l’Allemagne paiera ». Ce mot d’ordre explique la manière de présenter les finances publiques par les différents ministres des Finances qui se succèdent dans les différents gouvernements dits de Bloc national de 1919 à 1924.
Les relevés des décisions du Secrétariat du Comité central du PCF permettent de retracer l’histoire de son soutien à la candidature de François Mitterrand à l’élection présidentielle de 1965.
La mémoire collective retient rarement la loi du 24 juin 1936 sur les conventions collective comme l’un des acquis majeurs du Front populaire. Les congés payés ou les Quarante heures incarnent davantage l’embellie de l’été 1936.