Daniel Bart et Bertrand Daunay critiquent la logique interne du discours de PISA (programme international de suivi des acquis des élèves). Ils ciblent notamment son caractère « incantatoire » et « prothétique ».
Sont ici retracés près de deux siècles de l’histoire de la France afin d’examiner comment a cheminé la question de l’élection du président de la République au suffrage universel ainsi que sa pratique depuis son instauration. On voit que bon nombre – sans doute l’essentiel – des reproches aujourd’hui adressés à la magistrature suprême viennent de loin.
Républicanisme et monarchisme irréconciliables ? Si cela apparait relever de l’évidence, il a fallu des gestes fondateurs pour qu’il en soit ainsi.
Reproduction de la synthèse du panorama historique dressé par Raymond Huard dans son ouvrage “L’élection du président au suffrage universel dans le monde”.
Yann Le Pollotec, Responsable « Révolution numérique » du Comité exécutif national (CEN) du PCF
C’est au cœur des contradictions entre la révolution numérique et le capitalisme du digital que se développent ces réseaux, drôles d’ateliers coopératifs de fabrication numérique, que sont les fablabs[1], les hackerspaces[2] et autres makerspaces[3]. Ni entreprise, ni association, ni service public, ils sont des tiers lieux qui préfigurent, peut-être, l’une des futures institutions d’une société post-capitaliste fondée sur les « communs ».
Comme toutes les révolutions, la libre fabrication numérique a son propre lexique et ses propres…
Laurent Etre Rédacteur en chef adjoint de La Pensée et journaliste à l’Humanité Pour l’heure,…
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Alain Obadia Président de la Fondation Gabriel Péri Révolution numérique, transition écologique, exigences inédites de…
