privatisation
Les contradictions capital-travail et capital-nature s’autoalimentent ,et les ignorer c’est se rendre impuissant à répondre aux défis de ce que l’on nomme la transition écologique, et à les planifier. Luc Foulquier fait ici retour sur l’histoire en revisitant le concept de « nature, et dresse un tableau-vaste et cependant non exhaustif-des enjeux contemporains qui intéressent la question environnementale. L’objectif est de donner quelques informations afin de favoriser les discussions et les rencontres thématiques.
Au Burkina Faso, où 45 % de la population a moins de 35 ans, les nombreuses réformes de l’école coloniale engagées depuis les indépendances n’ont pas résolu les défis d’un système éducatif pour tous et de qualité. Au contraire, l’instabilité politique puis l’ajustement structurel des années 1990 ont freiné les efforts de scolarisation, surtout en direction des enfants pauvres, vivant en milieu rural…
Nico Hirtt revient ici sur les politiques éducatives adoptées par les pays membres de l’OCDE pour transformer le système scolaire en une machine à même de produire des travailleurs et des consommateurs flexibles et dociles.
Vidéos d’un séminaire organisé par le Plan Urbanisme Construction Architecture (Puca) dans le cadre d’un cycle de séminaires consacré aux évolutions des modes d’action publique urbaine.
Dans une enquête, menée pendant près de trois ans, sur le travail des personnes chargées de l’entretien des parcs et espaces verts de la ville de New York, John Krinsky et Maud Simonet ont étudié les transformations du travail dans ce service public. Les types de statuts pour effectuer un travail identique dans des conditions différentes se sont multipliés : fonctionnaires municipaux, employés associatifs, bénévoles, allocataires de l’aide sociale. Ils s’inscrivent dans des rapports sociaux de sexe, de classe et de race qu’ils participent à construire. Décryptage.
En sanctuarisant l’élection présidentielle, en légitimant les ambitions personnelles et en privatisant la fonction programmatique des partis politiques, la primaire est au final une mauvaise réponse à un réel enjeu : l’affaiblissement de la légitimité et de l’ancrage social des partis.