Des élections ou des enchères? Sur le risque politique et «le risque Mélenchon»

Le risque politique n’est autre que la mise en forme, plus ou moins objective et quantifiée, de l’horizon d’attentes d’un public particulier : celui des investisseurs financiers. La circulation dans l’espace public de la thématique du risque politique sous une forme banalisée et évidente tend à effacer les traces sociales des préoccupations bien particulières des investisseurs pour transformer leurs opinions, leurs espérances, et les éventuelles anticipations de profit ou de désagrément qu’ils projettent sur telle ou telle offre du jeu politique, en « valeurs universelles » de nos démocraties.

La crise grecque

Silo a sélectionné quelques vidéos et articles qui expliquent les raisons de cette crise et proposent des solutions alternatives fondées sur l’intérêt du peuple grec et non plus sur celui des marchés financiers.

Une nouvelle démocratie pour une souveraineté effective du peuple

Augmenter la souveraineté effective du peuple est un défi démocratique majeur. Ce défi implique de remettre en cause le pouvoir exorbitant donné à un seul et le pouvoir de l’argent. Il implique aussi d’installer des pratiques centrées sur la participation populaire.

Révolutionner la démocratie

L’appropriation du pouvoir par les citoyens implique une révolution démocratique qui passe par une transformation en profondeur des institutions, un développement audacieux de la démocratie participative et des droits nouveaux d’intervention directe.

Est-il présidentiable?

Découlant du pouvoir présidentiel de la V° République, le mot « présidentiable » s’est imposé dans notre vocabulaire sans que nous en ayons conscience. Le terme est ambigu. Il renvoie aussi bien à la volonté d’être candidat qu’aux compétences supposées nécessaires pour exercer la fonction. Retour sur le sens d’un mot.

L’impasse du populisme de gauche

Extrait du livre de Roger Martelli, “L’identité c’est la guerre”.

Le rôle du PCF dans l’élection présidentielle de 1965

Les relevés des décisions du Secrétariat du Comité central du PCF permettent de retracer l’histoire de son soutien à la candidature de François Mitterrand à l’élection présidentielle de 1965.

Sur la présidentialisation des régimes politiques

La présidentialisation des régimes politiques est le résultat de facteurs principalement politiques et non constitutionnels.

Rétablir le lien entre pouvoirs et responsabilité et donc le contrôle du chef de l’exécutif

L’interprétation présidentialiste de la Constitution de la Ve République conduit à conférer d’importants pouvoirs au Président alors qu’il est irresponsable politiquement. Ce fait peut avoir de dangereuses conséquences. Il est contraire aux principes démocratiques.